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sahara occidental - Page 88

  • Un quotidien populaire américain analyse la Collusion entre le Polisario et le Hezbollah

    La révélation de la collusion entre les séparatistes du Polisario et le Hezbollah, est révélatrice d’un “expansionnisme toxique” de l’Iran, écrit jeudi le quotidien américain à grand tirage, The Hill, en appelant la communauté internationale à adopter une posture de vigilance extrême.

    “L’Iran est le seul pays, dont l’expansionnisme est érigé en axe fondateur de sa constitution. Ce pays entretient des groupes terroristes et milices qui lui sont complètement affidés, dans nombre de pays de son environnement immédiat et au-delà”, souligne la publication, dans une analyse signée Ahmed Charaï, éditeur et membre de plusieurs think tanks américains, sous le titre : “Une nouvelle alliance face à l’Iran”.

    The Hill rappelle, dans ce contexte, que le Maroc a décidé tout récemment de rompre ses relations avec l’Iran à cause de la “connivence avérée” et du soutien militaire de son allié le mouvement Hezbollah au “Polisario”, en pointant du doigt, dans ce sens, les liens entre le régime iranien et les groupes terroristes de tout crin.

    “Pour les Marocains, poursuit l’analyse, l’Iran est un pays qui se trouve à plusieurs milliers de kilomètres. Mais pour le régime iranien, le Maroc fait partie d’un ensemble géographique allant du Moyen-Orient à l’Afrique du nord en passant par le continent africain, où Téhéran nourrit le dessein de propager son radicalisme et son influence néfaste”.

    Et de souligner qu’”au moment où Sa Majesté le Roi Mohammed VI, descendant du Prophète, préside aux destinées d’un programme colossale visant la propagation d’un Islam du juste milieu, de la tolérance et de l’altérité, à travers une stratégie multidimensionnelle de formation des imams marocains et de bien d’autres pays”, l’Iran “cherche, à contrario, à disséminer un endoctrinement toxique à travers le monde musulman”.

    Rappelons, dans ce contexte, que les Etats Unis avaient fustigé “la nature déstabilisatrice des activités de l’Iran, y compris le soutien de ce pays au Hezbollah et à d’autres groupes terroristes”, dans une récente réaction à MAP-Washington, suite à la décision de Rabat de rompre ses relations avec Téhéran.

    “Les Etats Unis ont de manière consistante exprimé leurs préoccupations quant à la nature déstabilisatrice des activités de l’Iran, y compris son soutien au Hezbollah et à d’autres groupes terroristes”, insistait la diplomatie américaine, ajoutant que l’Iran “demeure un Etat désigné sponsor du terrorisme et le Hezbollah demeure une organisation terroriste internationale”.

    Washington affirme, dans ce contexte, chercher “le soutien de nos partenaires afin de neutraliser l’influence déstabilisatrice de l’Iran, contenir son agression – particulièrement son soutien au terrorisme et aux combattants – et restaurer un équilibre des forces plus stable”.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
    www.sahara-developpement.com
    Le site social du Sahara occidental :
    www.sahara-social.com

  • Le Maroc condamne les provocations récentes du Polisario à Tifariti qui sont «une nouvelle violation caractérisée du cessez-le-feu»

    Le Royaume du Maroc «condamne vigoureusement les actions de provocation récentes menées par le Polisario dans la localité de Tifariti, à l’Est du dispositif de défense au Sahara Marocain» et «considère qu’il s’agit là d’une nouvelle violation caractérisée du cessez-le-feu et d’un défi flagrant à l’autorité du Conseil de sécurité de l’ONU», indique samedi un communiqué du ministère des Affaires Etrangères et de la coopération internationale (MAECI).

    Dans ce qui suit le texte de ce communiqué:

    «Acculés après la dernière résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara marocain, et visiblement embarrassés par la confirmation des liens avec le Groupement terroriste du Hezbollah, l’Algérie et le Polisario ont choisi la fuite en avant et la logique du pourrissement, à travers la multiplication des agitations puériles et irresponsables.

    C’est dans ce contexte que le Royaume du Maroc condamne vigoureusement les actions de provocation récentes menées par le Polisario dans la localité de Tifariti, à l’Est du dispositif de défense au Sahara Marocain.

    Le Royaume du Maroc considère qu’il s’agit là d’une nouvelle violation caractérisée du cessez-le-feu et d’un défi flagrant à l’autorité du Conseil de sécurité de l’ONU.

    Le Royaume du Maroc, qui a saisi officiellement, à ce sujet, le Président du Conseil de Sécurité et ses membres, le Secrétaire Général des Nations Unies et la Minurso, leur demande d’assumer leurs responsabilités et de prendre les mesures nécessaires contre ces agissements inacceptables.

    Au moment où le Conseil de Sécurité appelle à la relance du processus politique en vue de parvenir à une solution réaliste, pragmatique et durable au différend régional sur le Sahara marocain, ces actes de provocation des autres parties sapent sérieusement les efforts des Nations Unies.

    Le Maroc regrette que cette escalade se déploie avec la bénédiction et la complicité d’un pays voisin, membre de l’UMA, mais dont il viole doublement la charte: En fermant les frontières et en abritant sur son sol un mouvement armé qui menace l’intégrité territoriale d’un autre membre. Ce pays, au lieu de respecter les valeurs du bon voisinage et les impératifs de stabilité régionale, s’entête à encourager ses mercenaires du Polisario dans leur action déstabilisatrice, en violation de la légalité internationale.

    Loin de s’estomper, la responsabilité de l’Algérie et du Polisario face à la communauté internationale, ne fait que s’aggraver. Le Maroc demande officiellement aux instances onusiennes concernées, de diligenter une enquête internationale pour jeter la lumière sur la situation dans les camps de Tindouf administrés par le Polisario sur le territoire algérien, où nos compatriotes et frères marocains sont séquestrés dans des conditions dégradantes et inhumaines, et où l’aide humanitaire fournie par la communauté internationale est détournée pour être vendue sur les marchés du pays hôte aux fins d’enrichissement personnel de la nomenclature du Polisario.

    Le Royaume du Maroc réitère sa détermination irréfragable à défendre son intégrité territoriale et son unité nationale sur l’ensemble du territoire du Sahara marocain, et demande aux Nations Unies, et plus particulièrement à la Minurso, de remplir son mandat face aux violations répétées du cessez-le-feu”.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
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    Le site social du Sahara occidental :
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  • Le Polisario n’a aucune qualité pour représenter les populations locales (représentant du Service extérieure de l’UE)

    Lors d’un échange de vues, jeudi, au sein de la Commission du commerce international (INTA) au Parlement européen à Bruxelles, sur l’état d’avancement des négociations entre le Maroc et l’UE concernant les accords d’association et de pêche, le représentant du Service européen pour l’action extérieure SEAE a éconduit sèchement les tenants de la thèse séparatiste.

    Il a affirmé que le Polisario n’a aucune qualité de représenter les intérêts des populations locales.

    «Le Polisario n’a pas vocation à représenter de manière exclusive les populations du Sahara», a martelé Nicolas Bulte, représentant de l’organe qui régit, sous la houlette de Mme Federica Mogherini, les relations diplomatiques de l’UE avec les pays non membres et mène la politique étrangère et de sécurité de l’Union.

    Le responsable européen a insisté à lever toute ambigüité sur cette question en rappelant que même l’avocat général de la Cour de justice de l’UE (CJUE) l’avait clairement souligné dans son avis sur l’accord agricole.

    De même, ajoute M. Bulte, dans le dernier arrêt de la CJUE sur l’accord de pêche du 27 février il n’est pas fait mention du front Polisario. Cela explique, éclaire-t-il, pourquoi «l’UE considère que le Polisario n’a pas l’exclusivité de représenter les populations concernées dans le cadre d’une négociation commerciale».

    Rappelant la doctrine de l’UE qui consiste à ne pas reconnaitre l’entité fantoche, ni à s’ingérer dans un processus politique mené exclusivement par l’ONU, le représentant du service d’action extérieure de l’Union européenne a relevé que «ça a toujours été notre position, ça le demeure et nous sommes décidés encore plus fortement aujourd’hui que par le passé de soutenir les efforts des Nations unies dans la direction d’une solution pragmatique, politique et mutuellement acceptée comme le rappelle la dernière résolution du Conseil de sécurité de l’ONU».

    Répondant à des députés qui insistaient sur le consentement des populations pour toute négociation commerciale avec l’UE, M. Bulte a expliqué que des consultations ont été menées avec un large éventail des représentants des populations locales, notamment les élus, la société civile et les différents acteurs concernés, rappelant que «les Nations unies se sont évertuées pendant longtemps à essayer d’organiser un référendum et n’ont pas réussi car justement cette question de représentativité est assez complexe ».

    Et d’ajouter que «ce n’est pas à nous dans le cadre d’une négociation commerciale de réaliser cela».

    Prenant la parole à leur tour, les représentants de la Commission européenne ont abondé dans le même sens, notant que l’identification de la population sahraouie pose problème.

    «La Commission et le SEAE ne peuvent pas organiser un référendum et dire qui est sahraoui et qui ne l’est pas. Notre responsabilité est de s’assurer du bénéfice des populations et c’est ce que nous avons fait», a précisé un représentant de l’exécutif européen.

    Donnant l’exemple de l’accord de pêche, un responsable de la direction maritime de la commission européenne a rappelé que 14 millions d’euros par an vont à l’appui sectoriel qui concerne essentiellement les régions du sud du Royaume, ce qui prouve que le bénéfice des populations est bien établi.

    Si les interventions des différents responsables de l’Union européenne devant la commission INTA sont venues rappeler des vérités bien connues, ils confirment la prise de conscience de plus en plus forte de la communauté internationale de l’urgence d’une solution politique de la question du Sahara sur la base du réalisme que reflète la proposition marocaine de large autonomie, loin de toute surenchère et de manipulation politicienne ou à travers une lecture biaisée du principe de l’autodétermination ou encore en usant à profusion d’allégations sur une prétendue « occupation du territoire » ou « l’exploitation » des ressources naturelles au détriment des populations.

    Sources : le site politique du Sahara occidental :
    www.corcas.com
    Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
    www.sahara-online.net
    Le site de la culture hassanie :
    www.sahara-culture.com
    Le site des villes du Sahara occidental :
    www.sahara-villes.com
    Le site du développement économique du Sahara occidental:
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